Bientôt, plus de nouveaux billets de 500 euros
La banque centrale européenne a récemment annoncé qu’elle n’imprimerait plus de coupures de 500 euros. Ceci n’impliquera pas que ces billets vont être supprimés, mais ceux qui sont déjà en circulation seront gardés et ils maintiendront leur valeur.
Des raisons particulières
Les analystes financiers parisiens voient que le billet de 500 euros est ce qu’il y a en commun entre un allemand, un trafiquant de drogue ou un terroriste. Si les Allemands adorent payer en cash les terroristes, c’est pour éviter aux grandes puissances de détecter leurs activités. Il en est de même pour les trafiquants de cocaïne, car il est bien facile d’entasser les grosses coupures en euros dans une enveloppe de 8,2 sur 16 cm et cela ne fera que 2 mm d’épaisseur si vous avez 10 000 euros. L’arrêt de l’impression de ces coupures de 500 euros est la solution trouvée par les gouverneurs de la BCE pour mettre un terme à ces malfaiteurs. Ceci n’aura pas de répercussion sur les grands acteurs de la bourse. Ils sont également décidés que les 594 millions de billets de 500 euros resteront en circulation et ceux qui détiennent ces billets ne seront pas obligés de les remettre à la banque centrale pour les échanger. La BCE a également souligné sur ce qui est de la valeur des billets « violettes ».
Les réactions vis-à-vis de cette décision
Après cette annonce, les collaborateurs anglo-saxons du président de la BCE Mario Draghi n’ont pas manqué de faire des remarques sur cette décision. Les critiques venant de ces fronts n’ont d’ailleurs pas cessé depuis la nomination du président en novembre 2011. Ces homologues anglo-saxons dénoncent même un jeu de l’argent et du terrorisme à l’envers de cette personnalité. Ils ont fait remarquer que du côté du livre sterling la plus grosse coupure est limitée à 50 livres et aux États-Unis, la banque fédérale a arrêté d’émettre des billets supérieurs à 100 dollars depuis déjà 40 ans. Avec les attentats à Paris l’année dernière, les rumeurs n’ont fait qu’amplifier. Les grands membres de la BCE sont eux-mêmes en désaccord vis-à-vis de ce sort réservé aux billets violets. Les questions du type « Pourquoi on ne les supprimerait pas tous ? » ou encore « Pourquoi est-ce que d’autres billets sont encore en circulation » se font entendre par-ci et par-là. L’Allemagne juge cette décision de « trop radicale » et difficile à mettre en œuvre.